Pour rigoler et car je trouvais qu’on ne voyait pas assez Wonder Woman dans la bande-annonce de WW84, j’ai refait une bande-annonce en compilant des images des deux volets.
En faisant la vidéo (et ça se constate mieux je crois avec cette compilation) je me disais que rarement un corps féminin n’avait été filmé comme ça, avec un respect de sa densité, de son harmonie et Patty Jenkins est clairement fascinée par la tonicité du corps athlétique de Gal Gadot, sans jamais le sexualiser. Peu importe la qualité des films en tant que tels, Gadot est mise en scène comme une puissance pure et j’ai du mal à trouver un équivalent au cinéma, à part peut-être Varla (Tura Satana) dans Faster Pussycat ! Kill ! Kill !, qui elle est au contraire méga-sexualisée et serait comme une antithèse de Wonder Woman, une puissance noire vouée (car dévouée) à la destruction.