des extraits sont visibles plus bas). Comme Satanik, Genius met en scène un anti-héros typique de ces publications italiennes populaires pleines de stupre et de violence, un personnage agissant davantage comme bourreau que comme justicier, semant mort, larmes et terreur à longueur de pages.
Ce n’est cependant pas le héros qui nous intéresse ici mais sa fascinante coéquipière bien sûr, dont la présence malheureusement ponctuelle est toujours contrebalancée par une belle flopée de cadavres sillonnant sa route mouvementée.
Un masque de ninja oriental sublimant un regard magnétique, de longs cheveux noirs méchés de blond en harmonie avec une combinaison noire et or affriolante de Luchadora, une cape de chauve-souris ornée d’un col en toile d’araignée… et ce nom – quel nom ! – mystérieux, attirant, évocateur : LOVE.
Alors que diable manque t-il pour obtenir une héroïne incontournable ? Des titres explosifs évidemment ! Comme par exemple : Femelles brûlées (n°41), Le Bikini d’or (n° 12 argentin), Poupées en vison (n°63), L’île du plaisir (n°42) ou Whisky et Baby-Doll (n°33 argentin et 31 italien) !